Lazer

Oui, j'ai un QuickApp pour ma passerelle Enphase Envoy, mais je ne l'ai pas partagé, c'est inutile vu que Enphase a supprimé l'API locale dans les firmwares récents. Si tu t'imposes un besoin d'intégration du suivi PV dans la Home Center, ça va limiter tes choix. Ou bien tu utilises un compteur à impulsion branché sur un appareil genre IPX800 et là tu auras le suivi quelque soit la marque retenue.

Ah oui j'avais pas fait attention à la puissance, donc du coup c'est cohérent. Le stockage sur batterie n'est pas rentable économiquement parlant, sauf à monter sa batterie soi-même avec des composants importés directement de Chine... Ceux qui mettent des batteries le font pour d'autres raisons (région avec réseau de mauvaise qualité provoquant de fréquentes coupures, volonté d'autonomie, besoin de secourir des appareils critiques, peur des coupures d'hiver en cas de réseau tendu sans vouloir appliquer les gestes de sobriété, etc...)

Au moins il n'est pas malhonnête, puisqu'il estime une production légèrement inférieure à ce que toi tu simules. C'est le prix demandé qui ne va pas dans son offre.

OK il parle en taux de couverture (ce que certains appellent le taux d'autonomie), mais tu peux facilement calculer le taux d'autoconsommation estimé dans le tableau. Rapidemment comme ça, les données ne semblent pas déconnantes. Il serait quand même intéressant de faire ta propre simulation sur PVGIS au AutoCalSol pour valider la production annuelle dans tes propres conditions d'exposition. La vente à 10 centimes, c'est du EDF-OA je suppose. A noter que les nouveaux barèmes ont augmenté... mais avec eux les tarifs d'installation aussi. Il faudrait donc faire faire des devis à jour, ou bien faire tes propres calculs si tu veux poser toi-même. Parce que là y'a quand même un gros souci sur ce genre de projet.... 13000€ avec 685 € annuels de gains, ça fait 18 ans de rentabilité. C'est poubelle direct une offre pareil. Il faudrait prendre en compte l'augmentation du cout de l'électricité à... disons 5% par an, mais ça ne va pas fondamentalement changer la donne. EDIT : pour comparaison, quelqu'un qui pose soi-même dans le Var rentabilise en moins de 5 ans... voire entre 3 et 4 ans en optimisant à fond.

13k€ pour 4.38kWc ça fait quasiment 3€ du Wc, c'est beaucoup trop cher, ton devis fait partie de la fourchette haute des prix pratiqués par la profession... pas du tout un bon plan. Et je n'ai pas compris si les 3 k€ de main d’œuvre sont intégrés ou viennent en sus ? Auquel cas on serait à la limite de l'arnaque là. Tu devrais pouvoir trouver des devis dans les 2,5 € du Wc, voire 2€ si tu as de la chance. Quoi qu'il en soit, il est certain qu'une installation posée par des pros sera beaucoup plus longue à rentabiliser... à un moment donné si tu arrives à 15 ans, ça ne sert plus à rien... Ils t'ont fait une simulation de production au moins ? Avec prise en compte de ton profil de consommation (car tes 5 MWh annuels ne disent rien de ton profil de consommation). Afin d'en déduire le taux d'autoconsommation Car comme je l'ai expliqué pour mon projet, c'est cette autoconsommation qui fera toute la rentabilité du projet. Si tu as la possibilité de poser par toi même (la plus grande difficulté étant de monter sur le toit), alors il n'y a pas à hésiter. C'est au minimum 2 fois moins couteux. Je n'ai pas publié mon 1er bilan annuel au printemps, mais je suis globalement en phase avec ma simulation. Donc économie proche de 700€ sur la facture annuelle. A noter que depuis mars 2023, je suis passé en TEMPO avec ses tarifs largement inférieurs, donc forcément l'installation solaire est tout de suite moins rentable. D'un autre coté, j'ai mis en place la vente du surplus chez JPME, donc une fois que j'aurai absorbé les frais de dossier, ça sera tout bénef, car tout le surplus est vendu au lieu d'être perdu (injecté gratuitement) Ce qui m'a motivé à faire l'upgrade plus rapidement que prévu, raison pour laquelle j'ajoute 6 panneaux cette année. J'ai aussi installé une seconde pompe à chaleur, ce qui devrait significativement modifier ma consommation pour l'hiver prochain. On verra ce que tout cela donne, mais dans l'ensemble j'estime toujours rester dans les 8 ans de retour sur investissement (allez, on va dire à 1 an près), évidemment ça va fortement dépendre des tarifs de l'électricité dans les années qui vont venir, tant à l'achat qu'à la vente. Après ces 8 ans, ça sera tout bénef.

Bon sinon moi c'est un peu pareil, ça fait 2 ou 3 ans que j'ai arrêté d'arroser la pelouse... comme tu dis, elle arrête de pousser, plus besoin de passer la tondeuse, c'est toujours ça de gagné Au moins @Domodial en Bretagne, tu ne dois pas avoir de problème d'arrosage Sinon il suffit de mettre du désherbant dans l'aspergeur planté en plein milieu, et hop problème résolu, plus de végétation à entretenir

Tiens justement, c'est une autre des raisons qui fait que j'ai remis à plus tard l'achat d'un robot tondeuse... mais tondeuse actuelle, qui a dépassé 11 ans, fonctionne toujours comme au premier jour. Et comme c'est une marque un peu sérieuse, on trouve les pièces détachées pour la réparer soi-même à moindre frais, ce qui m'a servi une fois. Et même la batterie, alors ça je n'y croyais pas du tout, 11 ans après, j'arrive encore à tondre tout mon jardin avec. Comme quoi Stihl, c'est pas une marque pro pour rien. Bonus, la même batterie va dans ma tronçonneuse et la perche d'élagage. Bref, comme je n'aime pas jeter un truc qui fonctionne, bah... je continue avec Sinon pour le positionnement GPS+RTK, sur Wikipedia ils parlent d'une précision au centimètre (et 2cm pour l'altitude mais on s'en fout pour cette application puisque le robot ne vole pas comme un drone) Sur le site d'Ecoflow ils parlent d'un pouce, soit 2.54 cm. L'antenne peut être positionnée sur le piquet fourni, ou bien fixée en hauteur sur un balcon, le toit, etc... mais je suis tombé sur une question qui répond à la mienne : si le robot va de l'autre coté de la maison, sans vision direct de l'antenne, il pourra continuer grâce aux satellites GPS (ça sera surement moins précis je suppose) Les bordures, chez moi, aucune tondeuse ne peut les faire, que ça soit manuelle ou robot. Il faut un coupe-bordure à fil. Du coup, ça fait 12 ans que je n'ai pas fait les bordures. Comme dit, mon jardin, ce n'est pas un gazon anglais, c'est "tel quel". Heureusement je n'ai pas de taupes, c'est déjà ça. C'est même assez vite la forêt vierge en cette saison si je ne prend pas le temps de l'entretenir, ça pousse à une vitesse folle de tous les côtés !

Je me pose la même question... je n'ai pas encore étudié la question en détail, mais j'ai peur qu'il faille que l"antenne couvre tout la zone à tondre... si les murs de la maison font obstacle, comment réagit le robot ? Peut être que la précision du positionnement est diminué (limité par la précision du GPS), ou bien le robot refuse d'y aller ? A creuser... Justement, le lidar, ce n'est pas utilisable pour un robot tondeuse. Comment lui dire de ne pas aller tondre la piscine, ou une simple fleur d'ornement ? C'est pour cela, que la solution de facilité, c'était le câble périmétrique, l'équivalent "électromagnétique" d'un vrai mur physique dans une pièce fermée. Le positionnement GPS (précis à quelques mètres près...) associé à l'antenne RTK permet un positionnement à 10cm près, là c'est bon, on peut définir la zone à tondre, et les zones à exclure. Si tu regardes le fonctionnement de l'Ecoflow, c'est simple : tu commences par faire le tour du jardin en mode téléguidage du robot, exactement comme une voiture téléguidée (le kiff de grand enfant au passage ), puis tu "soustrait" les zones à exclure (parterre de fleurs, piscine, etc. Dans tous les cas, le robot garde des capteurs pour identifier les "gros" obstacles, genre chien, mobilier, jouet, etc laissé au milieu du jardin. Mais comme pour les robots aspirateurs, faut pas rêver, l'analyse d'image n'est pas encore assez précise pour détecter tous les petits objets... telle une chaussette... donc il faudra encore pas mal d'année avant d'avoir un fonctionnement totalement au point. Mais quand je vois l'évolution entre mon premier aspirateur, et le 2nd, ça progresse vite. Maintenant que des nouveaux acteurs arrivent sur le marché des tondeuses, j'ai bon espoir qu'ils donnent un coup de pied dans la fourmilière pour faire bouger les choses.

Ben c'est comme les aspirateurs robots dans les maisons ça. Les premiers modèles étaient bêtes et méchants, ils fonçaient en direction aléatoire vers les murs, rencontrent l'obstacle, puis font demi-tour et repartent dans une autre direction aléatoire. Comme les robots tondeuses actuelles, en gros le fil périmétrique extérieur, c'est exactement la même chose que le mur intérieur. Je dis pas que le travail est bien ou mal fait, je dis juste que le mécanisme de fonctionnement est... disons "simpliste", mais surtout, comme dit, moi le fil périmétrique, c'est rédhibitoire. 10 ans après, les robots aspirateurs, une fois évacué l'entrée de gamme, sont tous capables de cartographier l'intérieur, détecter les pièces, objets, etc, et faire un nettoyage régulier en ligne droite. C'est pas forcément plus propre, mais c'est plus efficace, puisqu'au final, le nettoyage est fait en moins de temps. On s'en fout à la limite si on le lance quand on est absent... après ils ajoutent des options, genre serpillère... qui là aussi vont progresser. Il commence à se passer la même chose avec les robots tondeuses, avec le positionnement GPS, amélioré avec la technologie RTK, on peut cartographier le jardin, avoir un positionnement très précis, et donc une tonte en ligne droite. Pas de serpillère, mais des options genre ramassage de feuilles à l'automne (ça j'en ai des volumes énormes à l'automne) Je pense qu'assez rapidement, le robot avec fil périmétrique deviendra l'exception, pour certains cas particuliers (lesquels ?), et le positionnement GPS+RTK la norme pour la simplicité et l'efficacité apportée. Restera à faire baisser le prix pour que ça se démocratise vraiment, comme les aspirateurs.

@Nico Le lien du dernier message de Jojo juste au dessus du miens. Ouais bien moi j'ai pas envie de m'embêter avec un fil périmétrique, voilà tout. C'est un critère éliminatoire pour moi, jusqu'à présent c'est ce qu'il m'a toujours bloqué net dans toute envie d'acheter un robot (c'est pas l'envie qui m'en manque, c'est pénible de devoir tondre le gazon).

Si tu as une marre, il suffit de déclarer cette zone comme inaccessible au robot et il n'ira pas. Si tu as une piscine, je ne sais pas pour la Belgique, mais en France la question ne devrait pas se poser car tu es obligé de protéger son accès... si le gamin du voisin vient se noyer dans ta piscine, tu es responsable.... bon après y'a la théorie et la pratique, comme en témoigne le nombre d'accidents chaque année. Mais j'ai quand même l'impression que le robot ne fera pas la même bêtise qu'un gamin, et puis de toute façon, comme pour la marre, si tu as posé ton fil périmétrique ou défini l'exclusion GPS, le robot n'ira pas. Puis bon, je préfère quand même un robot qui se noie qu'un gamin (bon après ça dépend le gamin de qui.... -->[.] ) Par contre le lien que tu as fourni.... je lui met à peu près 0/20 pour la qualité du contenu éditorial. Que des liens sponsorisés par une même boutique, et surtout il ne présente que des modèles bas de gamme.... rien que les petites roulettes sur les cotés du robot, c'est peut être bien pour ceux qui ont des gazon anglais, mais chez moi ça ne va pas le faire. Et ces modèles semblent tous utiliser le GPS, mais sans positionnement RTK... c'est justement ce qui change tout sur le modèle de chez Ecoflow. Si tu ne connais pas, le principe c'est que tu as une antenne à fixer dans ton jardin, qui vient en complément du GPS, et permet un positionnement ultra-précis... ça existe depuis un petit moment dans différents secteurs industriels. Justement, la précision du positionnement, c'est important avec ton histoire de pataugeoire.

Non non j'aime beaucoup les éléphants roses moi aussi Un peu HS quand même, mais moins car ça se rapporte aux tondeuses, le Ecoflow Blade me tente assez, car positionnement par GPS + antenne RTK, donc pas besoin de fil périmétrique, facile de reprogrammer les exclusions en cas de modification du jardin, etc, je pense que c'est l'avenir et que toutes les marques vont s'y mettre. Mais la jeunesse de la marque me fait un peu peur... quid de la fiabilité dans le temps pour un machin qui sera exposé aux intempéries dehors ? (quoique j'ai moyen de lui faire un abri tip top)

Ah c'est étrange ça... pas de chance Espérons que le support soit à la hauteur.

Essaye de supprimer les données de l'application. Puis ensuite relance là. Elle te demandera alors de te reconnecter, reconfigurer tes paramètres, mais Fibaro semble avoir des difficultés à gérer la conservation des données existantes lors de la mise à jour de l'application...

Oui relance la mise à jour, elle n'est probablement pas bien passée la première fois. C'est toujours un peu pénible les modules sur batterie pour ça, car le processus de mise à jour étant très long, les modules se rendorment avant la fin.

Le problème de cette page Web, c'est qu'elle consomme plus de CPU pour s'afficher elle-même que pour faire tourner le reste des services sur la box... Si tu veux suivre de façon un peu plus précise l'activité de ta box, je te conseille d'installer DomoCharts (même si lui-même consomme des ressources, c'est sans commune mesure avec cette page de diagnostiques) Perso sur ma box, je suis entre 10 et 15% de CPU en journée, et un peu moins la nuit quand tout est calme. Ton utilisation RAM est très faible, 30% c'est rien du tout, en comparaison je suis à 46% sur la mienne (ce qui est très bien aussi)

Alors oui pour le tableau d'ID tu peux utiliser une variable locale (c'est le cas dans le fichier exemple fourni avec GEA), car ces ID ne sont lus qu'une seule fois au démarrage de GEA, lors de l'analyse initiale des règles. A ce moment, l'interpréteur LUA remplace les noms des variables par leur contenu (= valeur numérique), et c'est bien cette valeur numérique qui restera dans la mémoire de GEA pendant toute son exécution, puisque par principe, les ID des modules ne changent pas. Pareil pour tes temps de monté de BSO. Et effectivement, utiliser VariableCache pour les valeurs qui vont changer dans le temps, entre différents cycles de GEA. Quant à la réactivité ressentie par l'humain, il est probable que tu ne fasses pas de différence entre GEA et une scène, on parle de millisecondes là... Par contre la façon dont tu vas utiliser GEA va avoir une influence considérable. Entre un déclenchement instantané (durée = -1) et un déclenchement automatique (cycle de 30s), là forcément, ça change tout. Il faut bien sûr utiliser -1 si tu as besoin de réactivité, et le cycle habituel (0, 30, 60, etc) sinon. Exemples basiques : - détection de mouvement => allumage lumière : évidemment on utilise le déclenchement instantané avec durée = -1 - il fait nuit et la porte du garage est restée ouverte => notification : là une durée de plusieurs minutes est pertinent.

J'ai un Walli, je vais faire simple : je n'aime pas. J'ai une 20aine (ou 30aine, je ne sais pas) de FGD-212, je vais faire simple : j'adore Les FGD permettent de conserver les interrupteurs de son choix (gamme Legrand, Schneider, etc, avec tous les enjoliveurs, etc). Comme mprinfo, je préconise les poussoirs (monostable), ça permet de faire varier la luminosité, double clic pour remettre à 100%, super pratique à l'usage. Quant au prix, j'aimerais bien savoir où tu as vu les Walli au même prix que les FGD-212, car je n'ai jamais vu perso. Les FGD-212 on les trouve souvent en promo vers les 40€, je n'ai jamais vu ce prix là pour les Walli. Peut être en Allemagne ? Un mot sur Philips Hue : c'est hors de prix, ça oblige à condamner l'interrupteur (sinon l'ampoule n'est plus alimentée), c'est anti-WAF au possible. J'arrive pas à comprendre que ça se vende aussi bien.... disons que les clients doivent être fan des millions de couleurs (du coup c'est un peu WAF, ça permet de faire des ambiances sympa) Mais quitte à faire des ambiances, je préfère conserver un interrupteur normal (FGD-212 avec poussoir du coup) qui pilote le plafonnier blanc pour l'éclairage principal, et ajouter un éclairage complémentaire (Philips Hue, un de ses concurrents, ou encore ruban RGBW) pour l'ambiance. Le meilleur des 2 mondes

Garanti jusqu'au 31 décembre. Chez JPME, le tarif est réévalué annuellement selon une formule qui prend en compte plusieurs paramètres (tarif sur les marché spot et long terme, etc) L'année dernière il était à 10 centimes de mémoire, soit le même tarif que chez EDF-OA. Cette année est donc super intéressante. Il est encore trop tôt pour estimer le tarif de l'année prochaine... quoi qu'il en soit, quelque soit le montant, c'est du bonus, une fois les frais de dossier payés, chaque kWh vendu, même à 1 centimes, est toujours plus intéressant que l'injection gratuite. C'est bien ce système, je suis content car ça me fait définitivement (*) abandonner l'idée des batteries. Car même si ça m'aurait beaucoup plu pour le coté geekerie ultime, c'est aberrant d'un point de vue financier (impossible à rentabiliser... du moins en France) et écologique. Et puis en région parisienne le réseau est déjà très stable, ça fait un souci de moins. (*) en fait en monophasé Enedis nous limite à 6 kVA. Donc si je voulais encore augmenter la puissance installée, le seul moyen serait de passer par un onduleur hybride avec stockage sur batterie. On laisse filer 6 kVA vers le réseau pour la vente de surplus, et l'excédent est injecté dans la batterie (le mécanisme exactement inverse à @flacon030 en fait)... reste que dans ce scénario, la batterie est encore moins rentable... car utilisée seulement les jours de fort ensoleillement. Du coup il faudrait une hausse spectaculaire de l'électricité en France (genre payer 2 fois plus cher comme chez nos voisins allemands) pour que ça vaille le coup. Mais si ça devait arriver, les tarifs de vente du surplus augmenteraient pareil.... (**) En fait, c'est là qu'on se dit qu'à partir du moment où on est producteur d'électricité, on est carrément gagnant. Et là on commence à comprendre un peu mieux le phénomène qui se passe actuellement, à savoir la forte inflation, et les super-profits dégagés par certains producteurs d'énergie (pas que pour l'électricité du coup... certains comme Engie gagnent sur tous les tableaux : électricité, gaz....) (**) et du coup, dans cette optique de toujours vendre plus cher qu'on achète l'électricité, ça deviendrait carrément pertinent de passer en triphasé, permettant d'injecter jusqu'à 36 kVA, et donc toujours pas de batterie dans l'équation. Et là se posera un nouveau problème : trouver de la surface de toit disponible pour installer des panneaux !

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Tu ne peux pas utiliser de variable locale (au sens LUA du terme) dans GEA, car les règles ne sont lues et analysées qu'une seule fois, au démarrage de GEA. Ensuite, à chaque cycle de 30s, tout se passe dans la mémoire de GEA, la fonction utilisateur setEvents() n'est pas re-exécutée. C'est pour cela que les variables caches ont été créées. C'est une façon indirecte de manipuler des variables locales dans GEA. Effectivement si tu as besoin de persistance entre 2 redémarrage de GEA, il faut passer par un mécanisme de stockage dans la DB de la HC3 (= sur disque). Donc variables globales, ou bien encore propriété des modules (physiques Z-Wave ou virtuel QuickApps) Rendons à César ce qui appartient à César, je ne suis pas à l'origine de la doc (ni de GEA d'ailleurs), je crois bien que c'est @pepite qui a fait les premières versions, à l'époque de GEA pour HC2. Le 5ème argument (optionnel) c'est juste un texte pour donner un nom à la règle. ça ne sert à rien d'autre qu'à faire joli dans le log de GEA... disons que c'est plus lisible pour un humain de voir le nom de la règle que la liste des conditions avec des ID numériques. En ce qui concerne la performance et la réactivité... difficile de répondre... car ça va fortement dépendre de la façon dont c'est codé (à la fois en règles GEA, mais aussi en LUA dans les scènes). Si c'est important pour toi, il faut tester les 2 cas de figure... ensuite tu pourras mesurer en terme de ressenti utilisateur (délai d'action sur les BSO), et aussi monitorer l'utilisation processeur de la box (avec DomoCharts par exemple) Une fois tout bien optimisé, il est probable que ça soit plus efficace avec des scènes.... mais perso je ne suis pas fan des scènes, je trouve que c'est plus complexe à maintenir. Je préfère GEA, car dans mon Notepad++, dans un seul fichier, j'ai l'ensemble de tous mes scénarios sur la box. Avec les fonctions recherche et la mise en surbrillance il est facile de retrouver les règles qui concernent tel ou tel module, profile, zone de chauffage, etc. Au final, j'ai environ 200 règles GEA, et seulement 3 scènes (pour des utilisations très spécifiques : alarme, sonnette, et réveil) Pour autant, je vois que le forum officiel que certains ont des centaines de scènes, donc ça dépend des habitudes

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C'est sûr que vu comme ça. Perso c'est différent, je suis passé en Tempo, donc je paye l'électricité 14,07 centimes / kWh (moyenne sur l'année) chez EDF, et je vends 17,21 centimes / kWh chez JPME, du coup j'ai carrément intérêt à injecter au maximum ! C'est d'ailleurs la raison principale qui m'a fait ajouter des panneaux cette année. Comme quoi, la crise de l'énergie, ça a du bon quand on est producteur

Si tu as besoin d'initialiser ta variable cache au démarrage de GEA, tu peux utiliser cette règle (inspirée de celle proposée dans la config par défaut) : GEA.add(true, 0, "déclaration VariableCache statut_bso_dressing", {"VariableCache", "statut_bso_dressing", "ATTENTE"}, "Démarrage GEA") Note la durée = 0 et non pas -1, à part cela c'est similaire à ta 2nde proposition. C'est une règle qui ne sera exécutée qu'une seule fois au démarrage de GEA. Très étrange.... il doit y avoir quelque chose qui a changé quelque part sur ta config, car GEA ne peut pas décider du jour au lendemain d'arrêter d'envoyer les notifications. Au cas où, vérifie l'ID ou le nom de ton téléphone que tu as déclaré dans GEA.portables

C'est bien visuel là, on voir clairement les différentes "étapes" de l'utilisation du courant. Pour l'excédent... tu n'avais pas mis en place la vente du surplus ?