Lazer

Je suppose que tu as bien créé tes positions prédéfinies dans SS, puis qu'au lancement du QA il te liste bien les numéros de position ? Essaye d'ajouter une variable de QuickApp appelée "debug" à laquelle tu mets la valeur "true", puis relances le test, on aura plus de logs pour essayer de comprendre ce qui se passe.

Hum... Je pense que tu pourrais faire le calcul de la charge de la BV avec ta domotique, en faisant la somme de ce qui est injecté et de ce qui est soutiré (l'une des 2 valeurs étant négative), depuis que tu as activé ce contrat chez USE. Met ta ligne HTML au format texte (et pas image), j'essaierai d'écrire la regex correspondante.

Une page HTML, c'est du format XML. Avec string.match() et la bonne expression régulière tu peux extraire les informations désirées entre les balises. Tu trouveras des exemples sur le forum car ce sujet a déjà été traité dans le passé (même si le format XML est complètement tombé en désuétude, avantageusement remplacé par le JSON) Mais c'est un peu pénible à faire, surtout si la page Web change sans prévenir (nouvelle mise en forme, etc) Cela dit je pense que tu prends le problème à l'envers. Je suppose que USE ne propose pas d'API. Mais alors pourquoi ne pas aller prendre l'information à la source ? Idéalement sur ton compteur Linky, avec la télé-information, tu auras la mesure d'injection en temps-réel, et tu pourras faire tes statistiques par jour, moins, année. Ou bien sur ton compte Enedis, puisque les infos du Linky y remontent également. Ainsi, en prenant l'information à la source, depuis le compteur, tu pourras en plus vérifier que ce que tu vois dans ton dashboard USE correspond à ce que tu as réellement injecté.

ça sera peut être l'occasion d'allumer la cheminée, j'ai du stock de bois qui m'encombre.

Et non, chrispec tu as manqué mon message, sinon tu aurais gagné au moins 1 jour J'ai bien l'impression que c'est ça :

Bienvenue sur le forum

Oui clair, je suis certain qu'on va se taper 5 jours rouges consécutifs. En plus je vais être bloqué à la maison toute la semaine, donc ça va me coûter bien cher cette histoire ...

Tu te connectes bien en local ? Avec l'adresse IP, pas via le cloud.

Non.... justement regarde sur cette page, on en parle ici :

Ah oui bien vu @Bloug, c'est une explication très plausible Même si bien inscrit dans le tuto :

C'est embêtant ça.... si ça se trouve ils ont changé d'API sur les modèles récents Désolé mais là tout de suite je sèche, je n'ai pas d'idée pour avancer

euh.... normalement c'est le bon : 54321 sinon il faut utiliser un scanner de ports, comme nmap, pour lister tous les ports ouverts sur un appareil. Déjà, est-ce que tu peux bien pinguer ton robot ? J'ai constaté sur le miens que lorsque l'accès Internet est indisponible, le robot ne répond plus en local. C'est complètement débile de bloquer une API locale quand l'accès Cloud est HS, mais c'est comme ça, bienvenue dans l'ère des objects connectés jetables.

Pas de réponse de l'aspirateur, donc si tu es sûr qu'il est bien connecté au Wi-Fi, il faut que tu vérifies l'adresse IP et le numéro de port.

En alternative, au garage j'ai une vieille caméra Hickvision, de type Cube avec un capteur PIR intégré, qui dispose d'une sortie alarme (fil dédié sur un bornier arrière). J'ai connecté le contact sur une entrée digitale de l'IPX800, et ça me permet une remontée en instantané sur la HC3. L'IPX800 est super fiable, ne plante jamais et est tout le temps alimenté, mais on pourrait imaginer utiliser un FGBS ou un FGS pour le contact sec. Malheureusement les caméras avec une sortie alarme / contact sec sont assez rares.

Sous Surveillance Station c'est dans Règle d'action, puis tu choisis Périphérique externe :

Je déplace dans la section Caméras. Tu peux faire un déclenchement via Surveillance Station, mais ça veut dire que tu dépend d'un tiers, le NAS, pour le scénario, donc c'est pas super fiable et un peu lourd à mettre en place / à maintenir. Autrement il faut utiliser la fonctionnalité push vers serveur http dispo dans les caméras Hikvision, mais quand ça a été introduit par mise à jour du firmware, on ne pouvait pas personnaliser l'URL, du coup impossible d'appeler la fonction voulue d'un QuickApp (ou une scène) directement sur la HC3. Pas mal de temp s'est écoulé depuis, il faudrait regarder si ça a évolué.

Super ça. Le fil qui va du Wago à la borne IN du module FGS-214 semble inutile, puisque tu n'exploites pas la sortie Q du relai intégré.

Ah ça, on verra à la date anniversaire, au mois de mars. Je ne m'attends pas à être payé en temps et en heure, ça n'est le cas pour personne... donc ça sera quelques temps après.... espérons ! C'est toujours autant le merdier chez JPME, ils ont envoyé les nouveaux tarifs d'achats 2024 pour les contrats souscrits e-Batterie Super+ en 2022-2023 .... seulement 5 centimes du kWh ! Et pour ne rien arranger, ils ont sorti 2 nouvelles offres, ils incitent à basculer vers les nouvelles offres, avec des frais à payer, donc pas intéressant. Du coup pour l'instant je reste sur mon offre, de toute façon les 405 € vendus remboursent mes frais d'inscription, donc après même à 5 centimes, c'est que du bonus. Et puis en 2025 ça remontera peut être...

Sur un toit plat c'est idéal, car l'installation est facile. Pas besoin d'échelle ou échafaudage, tu peux travailler en sécurité sur le toit plat. Il existe des supports orientables, et l'énorme avantage est de pouvoir les incliner au besoin. Je dirais que 2 fois par an, à l'automne, et au printemps, est un bon compromis pour optimiser la production en fonction de la hauteur du soleil été/hiver. Bilan sur l'année 2023, sachant que j'ai fait l'augmentation de puissance en cours d'année, donc en 2024 ça sera encore mieux : Production : 6415 kWh Autoconsommé : 4045 kWh = 555.67 € économisé sur la facture Injecté : 2370 kWh = 405.83 € vendu Rappel de mon installation actuelle : 20 panneaux, soit 8 kWc pour 6 kVA d'onduleurs, le tout réparti sur 3 toits différents. Le passage à l'abonnement TEMPO avec ses supers tarifs m'a considérablement rallongé la durée de ROI de mon installation. N'empêche que combiner TEMPO, les panneaux photovoltaïque, et 2 pompes à chaleur, ça fait considérablement baisser la facture. Et cela malgré les 2 voitures rechargeables.

Bravo

Bonne année à toutes et à tous

J'ai édité le message précédent avec une information précieuse, le graph d'autonomie du constructeur.

Complément d'information. Sur la page produit, on apprend que cet onduleur, toujours le même Eaton 5P 850i, est équipé de 2 batteries au plomb de tension 12 V et d'une capacité unitaire de 7 Ah. ça nous donne donc une capacité de 2 * 12 * 7 = 168 VAh On est loin des 60 Wh de capacité restituée comme vu dans l'exposé précédent. A cela plusieurs explications : - la facteur de puissance, qui fait qu'on ne peut pas considérer que les W sont des VA, de même que les Wh ne sont pas des VAh (d'ailleurs pour en revenir aux spécifications de l'onduleur, 850 VA pour 600 W ça fait déjà un ratio de 70% seulement) - le rendement de l'électronique de conversion (courant continu DC vers alternatif AC et élévation de tension 12V vers 230V), il y a beaucoup de pertes dans les composants, une partie de cette énergie est transformée en chaleur et justifie un ventilateur pour le refroidissement actif de l'électronique - la capacité des batteries qui ne peut jamais être utilisée en totalité, leur tension décroit avec la baisse de charge, en dessous d'une certaine tension l'onduleur ne peut même plus alimenter sa propre électronique donc il se coupe - une marge de sécurité qui coupe l'onduleur avant d'atteindre le seuil critique de décharge des batteries - autre ? EDIT : je viens de découvrir sur la capture d'écran ci-dessus que le constructeur donne un lien vers un graph, qui est conforme au mien, mais plus complet : https://eg.eaton.com/ups-battery-runtime/en-gb/5P850I Avec ça tu as toutes les informations pour dimensionner correctement ton onduleur

Prenons un cas concret, mon onduleur : Eaton 5P 850i Fiche constructeur : https://www.eaton.com/gb/en-gb/skuPage.5P850I.specifications.html La puissance de l'onduleur, c'est à dire ce qu'il est capable de fournir en instantané, c'est 850 VA = 600 W (la différence entre puissance apparente / puissance active, avec le fameux Cos Phi, ou plus exactement facteur de puissance) Donc on peut connecter des appareils jusqu'à 600 W cumulés sur l'ensemble des sorties. Par exemple un serveur de 60 Watts, une box Internet de 15 W, un switch de 5 W, une HC2 de 14 W, etc... là dans cet exemple ça fait un total de 94 W, on est largement en dessous des 600W, aucun problème, l'onduleur ne sere pas en surcharge. Prenons maintenant la datasheet disponible sur la page produit : https://www.eaton.com/content/dam/eaton/products/backup-power-ups-surge-it-power-distribution/backup-power-ups/eaton-5p-ups/eaton-5p-ups-datasheet.pdf Qui nous apprend qu'en usage typique à 50 % de charge (soit 300 W), il a une autonomie de 12 minutes. Cette information nous permet de calculer la capacité utile restituée pendant ces 12 minutes à 300 W, c'est à dire l'énergie restituée : 300 * 12 / 60 = 60 Wh (unité standard Watts.Heure) A noter que la datasheet nous dit aussi qu'à 70 % de charge, soit 420 W, on n'a que 7 minutes d'autonomie, soit une énergie restituée de seulement 420 * 7 / 60 = 49 Wh (la division par 60 c'est pour transformer les minutes en heure) On constate qu'on a moins d'énergie restituée, on en déduit que le rendement de l'onduleur chute lorsque la puissance soutirée augmente. Dit autrement, avec toujours la même capacité de batterie, l'autonomie de l'onduleur n'est pas linéaire en fonction de la puissance soutirée, méfiance donc dans les calculs, on ne peut pas faire une simple règle de 3. Néanmoins pour la suite on va faire les calculs en conservant la capacité restituée de 60 Wh afin de simplifier, et on se gardera dans un coin de la tête qu'on doit conserver une marge de sécurité conséquence pour palier aux aléas du rendement de l'électronique de conversion. Je ne me souviens plus de la consommation de la box Fibaro HC3.... allez on va prendre 5 Watts, je ne dois pas être loin de la vérité, même si c'est surement moins que ça. On est bien loin des 14 W de la HC2. Par conséquent, si tu ne connectes que la HC3 sur l'onduleur, la charge étant de 5 W (soit 0.8 % de la puissance max 600 de l'onduleur), ça nous donne 60 Wh / 5 W = 12 heures C'est beaucoup, n'oublie par que c'est un calcul théorique, cf considérant sur le rendement non linéaire. Au sujet du rendement, grâce à la carte réseau de mon onduleur qui donne les informations en temps-réel, et qui remonte également dans ma domotique grâce au QuickApp qui interroge la carte par SNMP, je sais que ma consommation réelle en sortie d'onduleur est de 144 Watts (j'ai pas mal de choses branchées dessus) Il est donc chargé à 24 % (= 144 / 600) Et il me donne également l'autonomie estimée, de 27 minutes. (en pratique c'est moins que ça car les batterie sont usées et l'onduleur est configuré pour couper avant d'arriver à 0%) Je trace une courbe de l'autonomie en fonction de la puissance soutirée : Comme on le constate visuellement, le rendement n'est pas linéaire

Après vu la consommation ridicule de la HC3 (quelques watts), n'importe quelle onduleur te permettra d'avoir facilement 1h d'autonomie.